C’est l’heure de la formalisation du métier de conducteur de taxi-moto, communément appelé “Zémidjan”. La démarche s’inscrit dans la réorganisation du transport public urbain de personnes par taxi, taxi-moto et tricycle.
Désormais au Togo, indique-t-on, “chaque taxi-moto devra disposer d’un agrément. Le conducteur devrait avoir son permis de conduire, connaître les règles de conduite, respecter le droit des passagers, passer le contrôle technique chaque année et être propriétaire de son engin”.
“Avec cette réforme, l’heure du grand ménage a commencé. Le Zémidjan va devenir un métier à part entière”, a indiqué mercredi 31 janvier, au micro de Republicoftogo, François Komlanvi Agbo, secrétaire général de l’Union syndicale des conducteurs de taxi-moto du Togo.
Alors que la réforme prévoit un recensement en bonne et due forme, le Syndicat appelle les conducteurs à se mettre en règle.
Aucun chiffre officiel n’existe. Toutefois, renseigne notre source, on estime que 75 000 taxis-motos sont en activité dont de nombreux dans une totale illégalité.
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